La formation est là pour aider les personnes à effectuer leurs tâches, à appréhender le quotidien. On ne se forme plus sans un besoin précis. Les élèves s’inscrivent à une formation pour être mieux, meilleur dans tel ou tel domaine.
La formation accompagne aux changements un public varié qui se trouve confronté au monde numérique. Alors la place de l’humain dans la formation est-elle remise en cause avec l’émergence du numérique ?
La formation en présentiel est toujours d’actualité malgré les Mooc, Elearning et autres types de formations. Dans un article de Mathilde Bourdat du 6 janvier 2020 on peut lire : « Les relations influencent et remodèlent le cerveau tout au long de la vie. Leur influence sur la neuroplasticité et l’apprentissage est désormais établie ». (…) « Notre capacité à apprendre est étroitement dépendante de la qualité de nos relations avec l’enseignant, nos pairs, la famille, les amis et la communauté. » « C’est le type de relations que (les enseignants) instaurent avec leurs élèves et l’environnement émotionnel de leur classe qui vont créer les régulateurs fondamentaux de la neuroplasticité ».
L’organisateur de formations doit toujours mettre en avant la qualité des échanges, des relations.
On parle aussi de scénarios de formations avec une histoire, une aventure. Les technologies sont une aide précieuse mais elles ne sont pas le moyen. Faciliter les échanges (réseau social), travailler en mode collaboratif ne se substitue pas à l’exigence de la relation.
Comme je dis souvent : Bien utiliser son environnement, cela fait parti du bien-être au travail.
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